Procida: histoire, où elle se trouve et comment y arriver
Si vous souhaitez visiter cette magnifique île, riche en traditions et paysages de cartes postales, nous vous expliquons en détail comment s’y rendre.
Procida est une île à découvrir. Bien qu’elle soit à une courte distance de Naples, l’île a sa propre identité, qu’il faut comprendre et découvrir petit à petit. Ici, nous vous raconterons ce qu’il faut voir pendant vos vacances à Procida, en approfondissant votre connaissance des attractions les plus intéressantes et des lieux les moins connus de l’île.
Si vous souhaitez visiter cette magnifique île, riche en traditions et paysages de cartes postales, nous vous expliquons en détail comment s’y rendre.
Paisible, sauvage, presque intacte. Laissons un instant derrière nous les couleurs et la joie vive de Procida pour nous plonger dans la paisible et verdoyante île de Vivara.
L’île de Procida est la plus petite des îles du golfe de Naples, ce qui la rend particulièrement adaptée pour se promener. Le Procida Camp & Resort est situé exactement au cœur de l’île: de là, vous pourrez explorer les deux côtés de Procida vite et sans trop d’effort!
Une chose est sûre : les couleurs et les parfums de Procida sont aussi contenus dans votre nourriture ! Chaque restaurant de l’île a ses spécialités et vous serez surpris de découvrir de temps en temps des saveurs différentes et inattendues. Vous trouverez ici un tour d’horizon de nos endroits préférés 😉
Nous voulons révéler un secret: à Procida la mer est belle et, si vous venez nous rendre visite, vous pouvez choisir parmi 6 plages différentes, passant de l’une à l’autre en fonction de la lumière et du vent.
Dans son livre « Terre d’Italia », Cesare Brandi définit Procida comme « Et voici la surprise. Un alignement de maisons de toutes les couleurs, étroites comme une barricade, avec de nombreuses arcades fermées en deux, comme si elles clignaient de l’œil. Et de plus en plus haut un vert intense, dominateur, presque sauvage, telle est la force des jets et des branches: vignes et citrons. »